Ah, vraiment, combien ces nuits sont prodigieuses !
Pourtant ma mère se tient triste et songeuse :
- Mon fils, je te vois partout qui erres,
Indécis et solitaire ?
- Mon fils, je te vois partout qui erres,
Indécis et solitaire ?
Tout au long d'avril je veille sur la route.
Les étoiles sont plus grandes et plus douces...
- Maman, maman, je suis sentinelle,
Sur avril tout seul je veille !
- Maman, maman, je suis sentinelle,
Sur avril tout seul je veille !
- Oh mon fils, je me souviens de ton histoire,
Je la revois dans tes yeux qui s'assombrissent...
T'a-t-elle chassé de sa mémoire
Est-ce là ce qui t'attriste ?
T'a-t-elle chassé de sa mémoire,
Est-ce là ce qui t'attriste ?
Tout au long d'avril je veille sur la route.
Les étoiles sont plus grandes et plus douces...
- Allons, maman ! je suis sentinelle,
Sur avril tout seul je veille...
- Maman, maman, je suis sentinelle,
Sur avril tout seul je veille !
