Le matin elle va au travail
Pressée, elle ne se souvient pas que j'existe
Et avec la pression de ses pas,
Elle piétine mon cœur qui souffre de cela.
Elle referme la portière de sa voiture, met la radio,
Chante sur les succès à la mode.
Et elle oublie qu'il n'y a pas longtemps
Elle me chantait son amour et ses sentiments.
Elle s'agite toute la journée,
En m'oubliant de plus en plus.
Elle utilise le fax et le télex,
Elle bouge de façon sensuelle dans sa robe.
A six heures, elle parle au téléphone,
Change le ton de sa voie, masque avec un sourire
Une invitation à dîner,
Un endroit douillet et après, le bal.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Je peux comprendre que
Tout a une fin.
Mais cette indifférence
C'est ce qui fait le plus mal en moi.
Passent la nuit et le début de la matinée
Et mes pensées augmente ma jalousie,
Je l'imagine alors qu'elle danse
Avec un autre qui profite de son parfum.
Je ne peux même pas imaginer la fin de la nuit.
Qelque chose de plus, je ne le supporterai pas.
Et je préfère penser, dans l'illusion, qu'elle revient.
C'est plus que de l'ironie.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Je peux comprendre que
Tout a une fin.
Mais cette indifférence,
C'est ce qui fait le plus mal en moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.
Elle se divertit et déjà ne pense plus à moi.
Elle ne pense pas à moi,elle ne pense pas à moi.