Le parfum sucré de vos roses s'évapore
Et moi je compose
Vous ne m'aurez jamais donné
Que le baiser du condamné
Ces fleurs que tu tiens dans ta douce mains représentent
Les sentiments que j'éprouverais à ton égard
Si tu pouvais maintenant seulement me toucher
Un simple soupir de papier spectral
Avant que tu ne me rendes la vie d'un baiser
Je respirai sous peu l'éclosion des roses
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi
Toutes tes fleurs composent ma chambre
Et me chantent leur joyeuse mélodie
Sur la mort inéluctable des fleurs de la nature
Un milliers de fleurs affamées
Qui t'aiment des heures durant
Qui très vite me recouvrent tendrement
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi
Mes lèvres sont grand ouvertes
Elles s'étendent
En quête de cet ultime baiser
Mes mains fermement contre mon cœur
Un milliers de fleurs affamées
Qui t'aiment des heures durant
Qui très vite me recouvrent tendrement
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi
Un millier de baisers d'adieu
Et voilà qu'ils disent que jamais tu ne mourras
Une solitaire fanfare se fit entendre
Et voilà qu'il chantent pour toi