. . Assez ! voici la punition. — En marche !
. . Ah ! les poumons brûlent, les tempes grondent ! la nuit roule dans mes yeux, par ce soleil ! le cœur… les membres…
. . Où va-t-on ? au combat ? Je suis faible ! les autres avancent. Les outils, les armes… le temps !…
. . Feu ! feu sur moi ! Là ! ou je me rends. — Lâches ! — Je me tue ! Je me jette aux pieds des chevaux !
. . Ah !…
. . — Je m’y habituerai.
. . Ce serait la vie française, le sentier de l’honneur !