Dans un océan d'émoi,
Deux mouillés sur un îlot.
Présents par chaque cellule,
C'est consentir sur crédit.
L'envie d'être fort maintenant,
Peut-être sobre et délicat.
L'amour-propre reprend,
Enfin le droit d'avoir l'espoir.
C'est la peau et les cheveux,
La main autour de tes hanches.
De la jalousie, de la peur.
Le dernier vin qui reste à boire.
L'amour, donne-nous la réponse.
L'amour, la sagesse de l'ancienne union.
Première poignée d'un enfant
Chant pour un feu père sur sa tombe.
Faux-pas d'un petit instant,
L'avenir dans une précaire situation.
Ensuite le grincement d'une bascule
Les pleurs, les rires imprimés sur la peau
C'est une histoire qui n'en finit plus
Par leurs cœurs, enracinés l'un à l'autre
C'est le grand désir et le cri
Et une heure après, l'ennui.
De la jalousie, de la peur.
Le dernier vin qui reste à boire.
L'amour, donne-nous la réponse.
L'amour, la sagesse de l'ancienne union.
L'amour, donne-nous la réponse.
L'amour, le soupir qui soulage.
L'amour, donne-nous la réponse.
L'amour, la sagesse de l'ancienne union.
L'amour, le grippage de la chère raison,
L'amour, voilà donc cette réponse ?